HODOI ELEKTRONIKAI
Du texte à l'hypertexte

Aristophane, Les Nuées

Vers 100-199

  Vers 100-199

[100] (ΦΕΙΔΙΠΠΙΔΗΣ) Εἰσὶν δὲ τίνες ;
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Οὐκ οἶδ᾿ ἀκριβῶς τοὔνομα.
Μεριμνοφροντισταὶ καλοί τε κἀγαθοί.
(ΦΕΙΔΙΠΠΙΔΗΣ) Αἰβοῖ, πονηροί γ᾿, οἶδα. Τοὺς ἀλαζόνας,
τοὺς ὠχριῶντας, τοὺς ἀνυποδήτους λέγεις,
ὧν κακοδαίμων Σωκράτης καὶ Χαιρεφῶν.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) , σιώπα. Μηδὲν εἴπῃς νήπιον.
Ἀλλ᾿ εἴ τι κήδει τῶν πατρῴων ἀλφίτων,
τούτων γενοῦ μοι, σχασάμενος τὴν ἱππικήν.
(ΦΕΙΔΙΠΠΙΔΗΣ) Οὐκ ἂν μὰ τὸν Διόνυσον εἰ δοίης γέ μοι
τοὺς Φασιανοὺς οὓς τρέφει Λεωγόρας.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Ἴθ᾿, ἀντιβολῶ σ᾿, φίλτατ᾿ ἀνθρώπων ἐμοί,
ἐλθὼν διδάσκου.
(ΦΕΙΔΙΠΠΙΔΗΣ) Καὶ τί σοι μαθήσομαι ;
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Εἶναι παρ᾿ αὐτοῖς φασὶν ἄμφω τὼ λόγω,
τὸν κρείττον᾿, ὅστις ἐστί, καὶ τὸν ἥττονα.
Τούτοιν τὸν ἕτερον τοῖν λόγοιν, τὸν ἥττονα,
νικᾶν λέγοντά φασι τἀδικώτερα.
Ἤν οὖν μάθῃς μοι τὸν ἄδικον τοῦτον λόγον,
νῦν ὀφείλω διὰ σέ, τούτων τῶν χρεῶν
οὐκ ἂν ἀποδοίην οὐδ᾿ ἂν ὀβολὸν οὐδενί.
(ΦΕΙΔΙΠΠΙΔΗΣ) Οὐκ ἂν πιθοίμην· οὐ γὰρ ἂν τλαίην ἰδεῖν
τοὺς ἱππέας τὸ χρῶμα διακεκναισμένος.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Οὐκ ἄρα μὰ τὴν Δήμητρα τῶν γ᾿ ἐμῶν ἔδει
οὔτ᾿ αὐτὸς οὔθ᾿ ζύγιος οὔθ᾿ σαμφόρας,
ἀλλ᾿ ἐξελῶ σ᾿ εἰς κόρακας ἐκ τῆς οἰκίας.
(ΦΕΙΔΙΠΠΙΔΗΣ) Ἀλλ᾿ οὐ περιόψεταί μ᾿ θεῖος Μεγακλέης
ἄνιππον. Ἀλλ᾿ εἴσειμι, σοῦ δ᾿ οὐ φροντιῶ.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Ἀλλ᾿ οὐδ᾿ ἐγὼ μέντοι πεσών γε κείσομαι,
ἀλλ᾿ εὐξάμενος τοῖσιν θεοῖς διδάξομαι
αὐτὸς βαδίζων εἰς τὸ φροντιστήριον.
Πῶς οὖν γέρων ὢν κἀπιλήσμων καὶ βραδὺς
λόγων ἀκριβῶν σκινδαλάμους μαθήσομαι ;
Ἰτητέον. Τί ταῦτ᾿ ἔχων στραγγεύομαι
ἀλλ᾿ οὐχὶ κόπτω τὴν θύραν ; Παῖ, παιδίον.
(ΜΑΘΗΤΗΣ)
Βάλλ᾿ εἰς κόρακας. Τίς ἐσθ᾿ κόψας τὴν θύραν ;
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Φείδωνος υἱὸς Στρεψιάδης Κικυννόθεν.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ἀμαθής γε νὴ Δί᾿, ὅστις οὑτωσὶ σφόδρα
ἀπεριμερίμνως τὴν θύραν λελάκτικας
καὶ φροντίδ᾿ ἐξήμβλωκας ἐξηυρημένην.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Σύγγνωθί μοι· τηλοῦ γὰρ οἰκῶν τῶν ἀγρῶν.
Ἀλλ᾿ εἰπέ μοι τὸ πρᾶγμα τοὐξημβλωμένον.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ἀλλ᾿ οὐ θέμις πλὴν τοῖς μαθηταῖσιν λέγειν.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Λέγε νυν ἐμοὶ θαρρῶν· ἐγὼ γὰρ οὑτοσὶ
ἥκω μαθητὴς εἰς τὸ φροντιστήριον.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Λέξω, νομίσαι δὲ ταῦτα χρὴ μυστήρια.
Ἀνήρετ᾿ ἄρτι Χαιρεφῶντα Σωκράτης
ψύλλαν ὁπόσους ἅλλοιτο τοὺς αὑτῆς πόδας.
Δακοῦσα γὰρ τοῦ Χαιρεφῶντος τὴν ὀφρῦν
ἐπὶ τὴν κεφαλὴν τὴν Σωκράτους ἀφήλατο.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Πῶς δῆτα διεμέτρησε ;
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Δεξιώτατα.
Κηρὸν διατήξας, εἶτα τὴν ψύλλαν λαβὼν
[100]
(PHILIPPIDE) Qui sont-ils ?
(STREPSIADE) Je ne sais pas exactement leur nom. Ce sont de profonds penseurs, beaux et bons.
(PHILIPPIDE) Ah! oui, les misérables, je les connais. Ce sont des charlatans, des hommes pâles, des va-nu-pieds, que tu veux dire, et, parmi eux, ce maudit Socrate et Chéréphon.
(STREPSIADE) Hé ! hé ! tais-toi! ne dis pas de bêtises. Si tu as souci des orges paternelles, deviens l'un d'eux, et lâche-moi l'équitation.
(PHILIPPIDE) Oh ! non, par Dionysos ! quand tu me donnerais les faisans que nourrit Léogoras.
(STREPSIADE) Vas-y, je t'en supplie, ô toi, l'homme le plus cher à mon cœur. Entre à leur école.
(PHILIPPIDE) Et qu'est-ce que je t'y apprendrai ?
(STREPSIADE) Ils disent qu'il y a deux raisonnements : le supérieur et l'inférieur. Ils prétendent que, par le moyen de l'un de ces deux raisonnements, c'est-à-dire de l'inférieur, on gagne les causes injustes. Si donc tu m'y apprenais ce raisonnement injuste, de toutes les dettes que j'ai contractées pour toi, je ne paierais une obole à personne.
(PHILIPPIDE) Je n'y saurais consentir : je n'oserais pas regarder les cavaliers avec ma face jaune et maigre.
(STREPSIADE) Alors, par Déméter, vous ne mangerez plus mon bien, ni toi, ni ton attelage, ni ton cheval. Je te chasse de ma maison et je t'envoie aux corbeaux marqué au S.
(PHILIPPIDE) Mon oncle Mégaclès ne me laissera pas sans monture. Je vais chez lui, et je me moque de toi.
(STREPSIADE) Eh bien, moi, pour une chute, je ne reste point par terre. Mais j'invoquerai les dieux et j'irai moi-même au philosophoir. Seulement, vieux comme je suis, sans mémoire et l'esprit lent, comment apprendrai-je les broutilles de leurs raisonnements raffinés? Il faut y aller. Pourquoi hésiter encore et ne pas frapper à la porte ?... Enfant, petit enfant !
(UN DISCIPLE) Va-t'en aux corbeaux ! Qui frappe à la porte ?
(STREPSIADE) Le fils de Phidon, Strepsiade du dême de Cicynna.
(LE DISCIPLE) De par Zeus ! tu dois être un grossier personnage, toi qui donnes à la porte un coup de pied si brutal, et qui fais avorter la conception de ma pensée.
(STREPSIADE) Pardonne-moi, car j'habite loin dans la campagne ; mais dis-moi la chose avortée.
(LE DISCIPLE) Il n'est permis de la dire qu'aux disciples.
(STREPSIADE) Dis-la-moi donc sans crainte, car je viens comme disciple au philosophoir.
(LE DISCIPLE) Je la dirai; mais songe donc que ce sont des mystères. Socrate demandait tout à l'heure à Chéréphon combien de fois une puce saute la longueur de ses pattes. Elle avait piqué Chéréphon au sourcil, et de là elle était sautée sur la tête de Socrate. STREPSIADE Et comment a-t-il mesuré cela?
(LE DISCIPLE) Très adroitement. Il a fait fondre de la cire,
[150] ἐνέβαψεν εἰς τὸν κηρὸν αὐτῆς τὼ πόδε,
κᾆτα ψυχείσῃ περιέφυσαν Περσικαί.
Ταύτας ὑπολύσας ἀνεμέτρει τὸ χωρίον.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Ζεῦ βασιλεῦ, τῆς λεπτότητος τῶν φρενῶν.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Τί δῆτ᾿ ἄν, ἕτερον εἰ πύθοιο Σωκράτους φρόντισμα ;
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Ποῖον ; Ἀντιβολῶ, κάτειπέ μοι.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ἀνήρετ᾿ αὐτὸν Χαιρεφῶν Σφήττιος
ὁπότερα τὴν γνώμην ἔχοι, τὰς ἐμπίδας
κατὰ τὸ στόμ᾿ ᾄδειν κατὰ τοὐρροπύγιον.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Τί δῆτ᾿ ἐκεῖνος εἶπε περὶ τῆς ἐμπίδος ;
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ἐφασκεν εἶναι τοὔντερον τῆς ἐμπίδος
στενόν, διὰ λεπτοῦ δ᾿ ὄντος αὐτοῦ τὴν πνοὴν
βίᾳ βαδίζειν εὐθὺ τοὐρροπυγίου·
ἔπειτα κοῖλον πρὸς στενῷ προσκείμενον
τὸν πρωκτὸν ἠχεῖν ὑπὸ βίας τοῦ πνεύματος.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Σάλπιγξ πρωκτός ἐστιν ἄρα τῶν ἐμπίδων.
τρισμακάριος τοῦ διεντερεύματος.
ῥᾳδίως φεύγων ἂν ἀποφύγοι δίκην
ὅστις δίοιδε τοὔντερον τῆς ἐμπίδος.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Πρῴην δέ γε γνώμην μεγάλην ἀφῃρέθη
ὑπ᾿ ἀσκαλαβώτου.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Τίνα τρόπον ; Κάτειπέ μοι.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ζητοῦντος αὐτοῦ τῆς σελήνης τὰς ὁδοὺς
καὶ τὰς περιφοράς, εἶτ᾿ ἄνω κεχηνότος
ἀπὸ τῆς ὀροφῆς νύκτωρ γαλεώτης κατέχεσεν.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Ἥσθην γαλεώτῃ καταχέσαντι Σωκράτους.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ἐχθὲς δέ γ᾿ ἡμῖν δεῖπνον οὐκ ἦν ἑσπέρας.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Εἶἑν. Τί οὖν πρὸς τἄλφιτ᾿ ἐπαλαμήσατο ;
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Κατὰ τῆς τραπέζης καταπάσας λεπτὴν τέφραν,
κάμψας ὀβελίσκον, εἶτα διαβήτην λαβών,
ἐκ τῆς παλαίστρας θοἰμάτιον ὑφείλετο.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Τί δῆτ᾿ ἐκεῖνον τὸν Θαλῆν θαυμάζομεν ;
Ἄνοιγ᾿ ἄνοιγ᾿ ἁνύσας τὸ φροντιστήριον
καὶ δεῖξον ὡς τάχιστά μοι τὸν Σωκράτη.
Μαθητιῶ γάρ. Ἀλλ᾿ ἄνοιγε τὴν θύραν.
Ἡράκλεις, ταυτὶ ποδαπὰ τὰ θηρία ;
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Τί ἐθαύμασας ; Τῷ σοι δοκοῦσιν εἰκέναι ;
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Τοῖς ἐκ Πύλου ληφθεῖσι, τοῖς Λακωνικοῖς.
Ἀτὰρ τί ποτ᾿ εἰς τὴν γῆν βλέπουσιν οὑτοι ;
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ζητοῦσιν οὗτοι τὰ κατὰ γῆς.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Βολβοὺς ἄρα
ζητοῦσι. Μή νυν τοῦτό γ᾿ ἔτι φροντίζετε·
ἐγὼ γὰρ οἶδ᾿ ἵν᾿ εἰσὶ μεγάλοι καὶ καλοί.
Τί γὰρ οἵδε δρῶσιν οἱ σφόδρ᾿ ἐγκεκυφότες ;
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Οὗτοι δ᾿ ἐρεβοδιφῶσιν ὑπὸ τὸν Τάρταρον.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Τί δῆθ᾿ πρωκτὸς εἰς τὸν οὐρανὸν βλέπει ;
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Αὐτὸς καθ᾿ αὑτὸν ἀστρονομεῖν διδάσκεται.
Ἀλλ᾿ εἴσιθ᾿, ἵνα μὴ ᾿κεῖνος ὑμῖν ἐπιτύχῃ.
(ΣΤΡΕΨΙΑΔΗΣ) Μήπω γε μήπω γ᾿, ἀλλ᾿ ἐπιμεινάντων, ἵνα
αὐτοῖσι κοινώσω τι πραγμάτιον ἐμόν.
(ΜΑΘΗΤΗΣ) Ἀλλ᾿ οὐχ οἷόν τ᾿ αὐτοῖσι πρὸς τὸν ἀέρα
ἔξω διατρίβειν πολὺν ἄγαν ἐστὶν χρόνον.
[150] puis il a pris la puce, et il lui a trempé les pattes dedans. La cire refroidie a fait à la puce des souliers persiques ; en les déchaussant, il a mesuré l'espace.
(STREPSIADE) O Zeus souverain, quelle finesse d'esprit !
(LE DISCIPLE) Que serait-ce, si tu apprenais une autre invention de Socrate ?
(STREPSIADE) Laquelle ? Je t'en prie, dis-la-moi ?
(LE DISCIPLE) Chéréphon, du dème de Sphattos, lui demandait s'il pensait que le bourdonnement des cousins vînt de la trompe ou du derrière.
(STREPSIADE) Et qu'a-t-il dit au sujet du cousin ?
(LE DISCIPLE) Il a dit que l'intestin du cousin est étroit ; et que, à cause de cette étroitesse, l'air est poussé tout de suite avec force vers le derrière ; ensuite, l'ouverture de derrière communiquant avec l’intestin, le derrière résonne par la force de l'air.
(STREPSIADE) Ainsi le derrière des cousins est une trompette. Trois fois heureux l'auteur de cette découverte ! Il doit être facile d'échapper à une poursuite en justice, quand on connaît à fond l'intestin du cousin.
(LE DISCIPLE) Dernièrement il fut détourné d'une haute pensée par un lézard.
(STREPSIADE) De quelle manière ? Dis-moi.
(LE DISCIPLE) Il observait le cours de la lune et ses révolutions, la tête en l'air, la bouche ouverte ; un lézard, du haut du toit, pendant la nuit, lui envoya sa fiente.
(STREPSIADE) Il est amusant ce lézard, qui fait dans la bouche de Socrate !
(LE DISCIPLE) Hier, nous n'avions pas à souper pour le soir.
(STREPSIADE) Eh bien ! qu'imagina-t-il pour avoir des vivres ?
(LE DISCIPLE) Il étend sur la table une légère couche de cendre, courbe une tige de fer, prend un fil à plomb, et de la palestre il enlève un manteau.
(STREPSIADE) Et nous admirons le célèbre Thalès ! Ouvre-moi, ouvre vite le philosophoir ; et fais-moi voir au plus tôt Socrate. J'ai hâte d'être son disciple. Mais ouvre donc la porte. O Héraclès ! de quels pays sont ces animaux ?
(LE DISCIPLE) Qu'est-ce qui t'étonne ? A quoi trouves-tu qu'ils ressemblent ?
(STREPSIADE) Aux prisonniers de Pylos, aux Laconiens. Mais pour quoi regardent-ils ainsi la terre ?
(LE DISCIPLE) Ils cherchent ce qui est sous la terre.
(STREPSIADE) Ils cherchent donc des oignons. Ne vous donnez pas maintenant tant de peine ; je sais, moi, où il y en a de gros et de beaux. Mais que font ceux-ci tellement courbés?
(LE DISCIPLE) Ils sondent les abîmes du Tartare.
(STREPSIADE) Et leur derrière, qu' a-t-il à regarder le ciel ?
(LE DISCIPLE) Il apprend aussi pour son compte à faire de l'astronomie... Mais rentrez, de peur que le maître ne vous surprenne.
(STREPSIADE) Pas encore, pas encore : qu'ils restent, afin que je leur communique une petite affaire.
(LE DISCIPLE) Mais ils ne peuvent pas demeurer trop longtemps à l'air et dehors.


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Dernière mise à jour : 4/04/2005