[1,18] ιηʹ. Περὶ τῶν σκεπτικῶν φωνῶν.
Ἐπεὶ δὲ ἑκάστῳ χρώμενοι τούτων τε καὶ τῶν τῆς ἐποχῆς τρόπων ἐπιφθεγγόμεθα
φωνάς τινας τῆς σκεπτικῆς διαθέσεως καὶ τοῦ περὶ ἡμᾶς πάθους μηνυτικάς,
οἷον λέγοντες « οὐ μᾶλλον » « οὐδὲν ὁριστέον » καὶ ἄλλας τινάς, ἀκόλουθον
ἂν εἴη καὶ περὶ τούτων ἑξῆς διαλαβεῖν. Ἀρξώμεθα δὲ ἀπὸ τῆς « οὐ μᾶλλον. »
| [1,18] Chap. XVIII. Des expressions des sceptiques.
Dans l'usage que nous faisons de nos moyens d'Époque, nous employons de
certains termes et de certaines expressions, qui marquent seulement les
dispositions, ou les affections, où se trouve le philosophe sceptique; ou,
pour ainsi dire, son état passif. Comme lorsque nous disons, pas plus; ou,
je ne définis rien; ou, lorsque nous nous servons de quelques autres
manières de parler. Il est donc à propos maintenant, d'expliquer ces
sortes d'expressions : c'est ce que nous allons faire en commençant par
cette expression, pas plus.
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