| [5,2] ΚΕΦΑΛΑΙΟΝ Β'.
II. § 1 Αἴτιον λέγεται ἕνα μὲν τρόπον ἐξ οὗ γίγνεταί τι ἐνυπάρχοντος, (25) 
οἷον ὁ χαλκὸς τοῦ ἀνδριάντος καὶ ὁ ἄργυρος τῆς φιάλης καὶ τὰ τούτων γένη· 
§ 2 ἄλλον δὲ τὸ εἶδος καὶ τὸ παράδειγμα, τοῦτο δ' ἐστὶν ὁ λόγος τοῦ τί ἦν 
εἶναι καὶ τὰ τούτου γένη (οἷον τοῦ διὰ πασῶν τὸ δύο πρὸς ἓν καὶ ὅλως ὁ 
ἀριθμός) καὶ τὰ μέρη τὰ ἐν τῷ λόγῳ. § 3 Ἔτι ὅθεν (30) ἡ ἀρχὴ τῆς μεταβολῆς 
ἡ πρώτη ἢ τῆς ἠρεμήσεως, οἷον ὁ βουλεύσας αἴτιος, καὶ ὁ πατὴρ τοῦ τέκνου 
καὶ ὅλως τὸ ποιοῦν τοῦ ποιουμένου καὶ τὸ μεταβλητικὸν τοῦ μεταβάλλοντος. § 
4 Ἔτι ὡς τὸ τέλος· τοῦτο δ' ἐστὶ τὸ οὗ ἕνεκα, οἷον τοῦ περιπατεῖν ἡ 
ὑγίεια. Διὰ τί γὰρ περιπατεῖ; Φαμέν. Ἵνα ὑγιαίνῃ. Καὶ (35) εἰπόντες οὕτως 
οἰόμεθα ἀποδεδωκέναι τὸ αἴτιον. Καὶ ὅσα δὴ κινήσαντος ἄλλου μεταξὺ 
γίγνεται τοῦ τέλους, (1013b)(1) οἷον τῆς ὑγιείας ἡ ἰσχνασία ἢ ἡ κάθαρσις ἢ 
τὰ φάρμακα ἢ τὰ ὄργανα·  πάντα γὰρ ταῦτα τοῦ τέλους ἕνεκά ἐστι, διαφέρει 
δὲ ἀλλήλων ὡς ὄντα τὰ μὲν ὄργανα τὰ δ' ἔργα. § 5 Τὰ μὲν οὖν αἴτια σχεδὸν 
τοσαυταχῶς λέγεται, § 6 συμβαίνει δὲ πολλαχῶς (5) λεγομένων τῶν αἰτίων καὶ 
πολλὰ τοῦ αὐτοῦ αἴτια εἶναι οὐ κατὰ συμβεβηκός (οἷον τοῦ ἀνδριάντος καὶ ἡ 
ἀνδριαντοποιητικὴ καὶ ὁ χαλκὸς οὐ καθ' ἕτερόν τι ἀλλ' ᾗ ἀνδριάς· ἀλλ' οὐ 
τὸν αὐτὸν τρόπον ἀλλὰ τὸ μὲν ὡς ὕλη τὸ δ' ὡς ὅθεν ἡ κίνησις), § 7 καὶ 
ἀλλήλων αἴτια (οἷον τὸ πονεῖν (10) τῆς εὐεξίας καὶ αὕτη τοῦ πονεῖν· ἀλλ' 
οὐ τὸν αὐτὸν τρόπον ἀλλὰ τὸ μὲν ὡς τέλος τὸ δ' ὡς ἀρχὴ κινήσεως). § 8 Ἔτι 
δὲ ταὐτὸ τῶν ἐναντίων ἐστίν· ὃ γὰρ παρὸν αἴτιον τουδί, τοῦτ' ἀπὸν 
αἰτιώμεθα ἐνίοτε τοῦ ἐναντίου, οἷον τὴν ἀπουσίαν τοῦ κυβερνήτου τῆς 
ἀνατροπῆς, οὗ ἦν ἡ παρουσία αἰτία (15) τῆς σωτηρίας· ἄμφω δέ, καὶ ἡ 
παρουσία καὶ ἡ στέρησις, αἴτια ὡς κινοῦντα.
§ 9 Ἅπαντα δὲ τὰ νῦν εἰρημένα αἴτια εἰς τέτταρας τρόπους πίπτει τοὺς 
φανερωτάτους. Τὰ μὲν γὰρ στοιχεῖα τῶν συλλαβῶν καὶ ἡ ὕλη τῶν σκευαστῶν καὶ 
τὸ πῦρ καὶ ἡ γῆ καὶ τὰ τοιαῦτα πάντα τῶν σωμάτων καὶ τὰ (20) μέρη τοῦ ὅλου 
καὶ αἱ ὑποθέσεις τοῦ συμπεράσματος ὡς τὸ ἐξ οὗ αἴτιά ἐστιν· § 10 τούτων δὲ 
τὰ μὲν ὡς τὸ ὑποκείμενον, οἷον τὰ μέρη, τὰ δὲ ὡς τὸ τί ἦν εἶναι, τό τε 
ὅλον καὶ ἡ σύνθεσις καὶ τὸ εἶδος. § 11 Τὸ δὲ σπέρμα καὶ ὁ ἰατρὸς καὶ ὁ 
βουλεύσας καὶ ὅλως τὸ ποιοῦν, πάντα ὅθεν ἡ ἀρχὴ τῆς μεταβολῆς (25) ἢ 
στάσεως. § 12 Τὰ δ' ὡς τὸ τέλος καὶ τἀγαθὸν τῶν ἄλλων· τὸ γὰρ οὗ ἕνεκα 
βέλτιστον καὶ τέλος τῶν ἄλλων ἐθέλει εἶναι· διαφερέτω δὲ μηδὲν αὐτὸ εἰπεῖν 
ἀγαθὸν ἢ φαινόμενον ἀγαθόν.
§ 13 Τὰ μὲν οὖν αἴτια ταῦτα καὶ τοσαῦτά ἐστι τῷ εἴδει, τρόποι δὲ τῶν 
αἰτίων ἀριθμῷ μέν (30) εἰσι πολλοί, κεφαλαιούμενοι δὲ καὶ οὗτοι ἐλάττους. 
Λέγονται γὰρ αἴτια πολλαχῶς, καὶ αὐτῶν τῶν ὁμοειδῶν προτέρως καὶ ὑστέρως 
ἄλλο ἄλλου, οἷον ὑγιείας ὁ ἰατρὸς καὶ ὁ τεχνίτης, καὶ τοῦ διὰ πασῶν τὸ 
διπλάσιον καὶ ἀριθμός, καὶ ἀεὶ τὰ περιέχοντα ὁτιοῦν τῶν καθ' ἕκαστα. § 14 
Ἔτι δ' ὡς τὸ συμβεβηκὸς (35) καὶ τὰ τούτων γένη, οἷον ἀνδριάντος ἄλλως 
Πολύκλειτος καὶ ἄλλως ἀνδριαντοποιός, ὅτι συμβέβηκε τῷ ἀνδριαντοποιῷ 
Πολυκλείτῳ εἶναι· (1014a)(1) καὶ τὰ περιέχοντα δὲ τὸ συμβεβηκός, οἷον 
ἄνθρωπος αἴτιος ἀνδριάντος, ἢ καὶ ὅλως ζῷον, ὅτι ὁ Πολύκλειτος ἄνθρωπος ὁ 
δὲ ἄνθρωπος ζῷον. Ἔστι δὲ καὶ τῶν συμβεβηκότων ἄλλα ἄλλων πορρώτερον καὶ 
(5) ἐγγύτερον, οἷον εἰ ὁ λευκὸς καὶ ὁ μουσικὸς αἴτιος λέγοιτο τοῦ 
ἀνδριάντος, ἀλλὰ μὴ μόνον Πολύκλειτος ἢ ἄνθρωπος.
§ 15 Παρὰ πάντα δὲ καὶ τὰ οἰκείως λεγόμενα καὶ τὰ κατὰ συμβεβηκός, τὰ μὲν 
ὡς δυνάμενα λέγεται τὰ δ' ὡς ἐνεργοῦντα, οἷον τοῦ οἰκοδομεῖσθαι οἰκοδόμος 
ἢ οἰκοδομῶν οἰκοδόμος. § 16 (10) Ὁμοίως δὲ λεχθήσεται καὶ ἐφ' ὧν αἴτια τὰ 
αἴτια τοῖς εἰρημένοις, οἷον τοῦδε τοῦ ἀνδριάντος ἢ ἀνδριάντος ἢ ὅλως 
εἰκόνος, καὶ χαλκοῦ τοῦδε ἢ χαλκοῦ ἢ ὅλως ὕλης· καὶ ἐπὶ τῶν συμβεβηκότων 
ὡσαύτως. § 17 Ἔτι δὲ συμπλεκόμενα καὶ ταῦτα κἀκεῖνα λεχθήσεται, οἷον οὐ 
Πολύκλειτος οὐδὲ ἀνδριαντοποιὸς (15) ἀλλὰ Πολύκλειτος ἀνδριαντοποιός. 
§ 18 Ἀλλ' ὅμως ἅπαντά γε ταῦτ' ἐστὶ τὸ μὲν πλῆθος ἕξ, λεγόμενα δὲ διχῶς· ἢ 
γὰρ ὡς τὸ καθ' ἕκαστον ἢ ὡς τὸ γένος, ἢ ὡς τὸ συμβεβηκὸς ἢ (20) ὡς τὸ 
γένος τοῦ συμβεβηκότος, ἢ ὡς συμπλεκόμενα ταῦτα ἢ ὡς ἁπλῶς λεγόμενα, πάντα 
δὲ ἢ ὡς ἐνεργοῦντα ἢ κατὰ δύναμιν. § 19 Διαφέρει δὲ τοσοῦτον, ὅτι τὰ μὲν 
ἐνεργοῦντα καὶ τὰ καθ' ἕκαστον ἅμα ἔστι καὶ οὐκ ἔστι καὶ ὧν αἴτια, οἷον 
ὅδε ὁ ἰατρεύων τῷδε τῷ ὑγιαζομένῳ καὶ ὅδε ὁ οἰκοδόμος τῷδε τῷ 
οἰκοδομουμένῳ, τὰ δὲ κατὰ δύναμιν οὐκ ἀεί· φθείρεται γὰρ οὐχ ἅμα ἡ οἰκία 
καὶ (25) ὁ οἰκοδόμος. 
 | [5,2] CHAPITRE Il.
Cause. § 1. En un premier sens, Cause signifie l'élément intrinsèque dont 
une chose est faite ; (25) c'est en ce sens qu'on peut dire de l'airain 
qu'il est cause de la statue dont il est la matière; de l'argent, qu'il 
est cause de la coupe qui en est faite; et de même pour tous les cas de ce 
genre.
§ 2. En un autre sens, la cause est la forme et le modèle des choses, 
c'est-à-dire leur raison d'être, qui fait qu'elles sont ce qu'elles sont, 
avec toutes les variétés de genres que les choses présentent. Par exemple, 
la raison d'être de l'octave c'est le rapport de deux à un; et d'une 
manière générale, c'est le nombre, avec les parties différentes qui 
composent le rapport. 
§ 3. La cause est encore le principe initial (30) d'où vient le changement 
des choses, ou leur repos. C'est en ce sens que celui qui a conçu une 
résolution est la cause des suites qu'elle a eues ; que le père est la 
cause de l'enfant ; en un mot, que ce qui agit est la cause de l'acte, et 
que ce qui change une chose est cause du changement qu'elle subit.
§ 4. Une autre acception du mot Cause, c'est le but des choses et leur 
pourquoi. Ainsi, la santé est le but de la promenade. Pourquoi un tel se 
promène-t-il ? C'est, répondons-nous, afin de se bien porter. Et, dans 
cette réponse, nous croyons avoir indiqué la cause. En ce sens, on nomme 
également causes tous les intermédiaires qui, après l'impulsion d'un autre 
moteur, mènent au but poursuivi. (1013b) Par exemple, on appelle cause de 
la santé le jeûne, les purgations, les remèdes qu'ordonne le médecin, et 
les instruments dont il se sert; car tout cela n'est fait qu'en vue du but 
qu'on poursuit; et l'on ne peut faire d'autres distinctions entre toutes 
ces choses, sinon que les unes sont des instruments, et que les autres 
sont des actes du médecin. 
§ 5. Telles sont donc à peu près toutes les acceptions du mot de Cause.
§ 6.  Mais ce mot de Cause ayant tous ces sens divers, (5) il en résulte 
que, pour une seule et même chose, il peut y avoir plusieurs causes, qui 
ne soient pas des causes purement accidentelles. Ainsi, la statue a tout à 
la fois pour cause et l'art du sculpteur et l'airain dont elle est faite, 
sans que ces causes aient d'autre rapport avec elle si ce n'est qu'elle 
est statue. Il est vrai que le mode de causalité n'est pas identique ; car 
ici c'est la cause matérielle ; et là, c'est la cause d'où vient le 
mouvement, qui a produit la statue.
§ 7.  Parfois, les causes sont réciproquement causes les unes des autres. 
Ainsi l'exercice est cause de la bonne disposition du corps; et la bonne 
disposition du corps (10) est cause de l'exercice, qu'elle permet. 
Seulement, ici encore, le mode de la cause n'est pas identique ; d'un 
côté, elle agit comme but; et de l'autre, elle agit comme principe du 
mouvement. 
§ 8. Parfois aussi, une seule et même chose est cause des contraires. 
Ainsi, telle chose qui, par sa présence, est cause de tel effet nous 
paraît, par son absence, mériter que nous l'accusions d'être la cause d'un 
effet tout contraire. Par exemple, l'absence du pilote est la cause de 
naufrage, tandis que sa présence eût été une cause (15) de salut. Du 
reste, présence et absence du pilote sont toutes les deux des causes de 
mouvement.
§ 9. Toutes les causes énumérées jusqu'ici tombent sous ces quatre 
classes, qui sont les plus évidentes. Ainsi, les lettres dans les syllabes 
dont se composent les mots, la matière pour les objets que façonne la main 
de l'homme, le feu, la terre, et tous les corps analogues, les (20) 
parties qui forment un tout, les prémisses d'où sort la conclusion, ce 
sont là autant de causes d'où les choses peuvent provenir. 
§ 10. Et parmi ces causes, les unes sont causes comme sujet matériel, 
ainsi que sont les parties d'un tout ; les autres le sont comme notion 
essentielle de la chose. C'est ainsi que sont le tout, la combinaison des 
parties, et leur forme. 
§ 11.  Les causes telles que la semence d'une plante, le médecin qui 
guérit, le conseiller qui a suggéré un projet, en un mot, tout agent 
quelconque, sont autant de causes d'où part l'initiative du mouvement (25) 
ou du repos. 
§ 12.  D'autres causes sont des causes en tant que but des choses, et en 
tant que bien de tout le reste. Le pourquoi dans toutes les choses est 
pour elles le bien par excellence, et vise à être pour tout le reste la 
véritable fin, que d'ailleurs ce bien soit un bien réel, ou qu'il ne soit 
qu'apparent; différence qui est ici sans intérêt.
§ 13. Telles sont les diverses espèces de causes, et tel est leur nombre. 
Leurs nuances doivent (30) sembler très multipliées ; mais, en les 
résumant, on peut encore les réduire. Ainsi, même pour des causes d'espèce 
analogue, le mot de Cause a des acceptions diverses selon que telle cause 
est antérieure, ou postérieure, à telle autre cause. Par exemple, la cause 
de la guérison, c'est bien le médecin ; mais c'est aussi l'ouvrier qui a 
fait l'instrument dont le médecin s'est servi ; la cause de l'octave, 
c'est bien le rapport du double; mais c'est aussi le nombre; et toujours 
les causes qui en enveloppent d'autres sont postérieures aux causes 
particulières. 
§ 14. Parfois encore, la cause n'est qu'indirecte, avec toutes les espèces 
que l'accident peut avoir. Par exemple, la cause de la statue, c'est bien, 
en un sens, Polyclète; mais c'est aussi, d'une manière différente, le 
statuaire, parce qu'indirectement Polyclète se trouve être statuaire. 
(1014a) On peut encore aller plus loin, et considérer comme cause tout ce 
qui enveloppe et contient l'accident. Ainsi, l'homme serait la cause de 
la statue ; et plus généralement encore ce serait l'être animé, puisque 
Polyclète est un homme et que l'homme est un être animé. Parmi les causes 
accidentelles ainsi considérées, les unes sont plus éloignées, et (5) les 
autres plus proches ; et l'on pourrait aller jusqu'à prétendre que c'est 
le Blanc et le Musicien qui est cause de la statue, et que ce n'est pas 
seulement Polyclète ou l'homme.
§ 15. Toutes les causes qui sont des causes proprement dites, ou qui ne 
sont que des causes accidentelles et indirectes, se distinguent encore 
selon qu'elles peuvent agir, ou qu'elles agissent effectivement. Ainsi, la 
cause de la construction, c'est le maçon qui est en état de construire ; 
mais c'est aussi le maçon qui est effectivement occupé à construire. 
§ 16. (10) Des nuances pareilles à celles que nous venons d'indiquer, 
pourront également s'appliquer aux objets dont les causes sont directement 
causes : à cette statue, par exemple, en tant que statue, ou d'une manière 
générale en tant que portrait ; à cet airain en tant qu'airain, ou d'une 
manière générale en tant que l'airain est la matière de quelque chose. Et 
enfin, elles pourront s'appliquer d'une manière identique aux causes 
accidentelles elles-mêmes.
§ 17.  Parfois aussi, on réunit, les unes aux autres, les causes directes 
et les causes indirectes; et par exemple, on peut ne pas isoler Polyclète 
et l'on peut dire que la cause de la statue, c'est Polyclète le 
statuaire.
§ 18. Quoi qu'il en puisse être, toutes ces nuances sont au nombre de six, 
qui peuvent chacune être prises en un double sens. Ce sont la chose 
individuelle ou son genre ; ce sont l'accident ou (20) le genre de 
l'accident; ce sont la combinaison des termes ou leur isolement. Enfin ces 
six espèces peuvent être considérées comme agissant réellement, ou 
simplement comme pouvant agir.
§  19. Quant à ces deux dernières nuances, il y a cette différence entre 
elles que les causes actuelles, et les causes particulières, sont, ou 
cessent d'être, en même temps que les choses dont elles sont les causes. - 
Ainsi, par exemple, le médecin qui soigne actuellement un malade est, et 
cesse d'être, en même temps que ce malade qu'il soigne ; le maçon qui 
construit une maison, est, et cesse d'être, en même temps que cette 
construction qu'il fait. Mais les causes qui ne sont qu'en simple 
puissance ne soutiennent pas toujours ce rapport, puisque la maison et le 
maçon qui peut la construire ne disparaissent pas en même temps.
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