HODOI ELEKTRONIKAI
Du texte à l'hypertexte

Hérodote, Histoires, livre III

τῆς



Texte grec :

[3,87] Οἳ μὲν δή φασι τὸν Οἰβάρεα ταῦτα μηχανήσασθαι, οἳ δὲ τοιάδε (καὶ γὰρ ἐπ᾽ ἀμφότερα λέγεται ὑπὸ Περσέων), ὡς τῆς ἵππου ταύτης τῶν ἄρθρων ἐπιψαύσας τῇ χειρὶ ἔχοι αὐτὴν κρύψας ἐν τῇσι ἀναξυρίσι· ὡς δὲ ἅμα τῷ ἡλίῳ ἀνιόντι ἀπίεσθαι μέλλειν τοὺς ἵππους, τὸν Οἰβάρεα τοῦτον ἐξείραντα τὴν χεῖρα πρὸς τοῦ Δαρείου ἵππου τοὺς μυκτῆρας προσενεῖκαι, τὸν δὲ αἰσθόμενον φριμάξασθαί τε καὶ χρεμετίσαι.

Traduction française :

[3,87] LXXXVII. Tel fut, suivant quelques-uns, le moyen dont se servit Oebarès; mais d'autres rapportent le fait différemment, car les Perses le content de deux manières. Ils disent donc qu'Oebarès passa la main sur les parties naturelles de cette cavale, et qu'ensuite il la tint cachée sous sa ceinture ; que dans le moment que le soleil commençait à paraître, les chevaux faisant le premier pas pour se mettre en marche, il la tira de sa ceinture, l'approcha des naseaux du cheval de Darius ; que cet animal, sentant l'odeur de la cavale, se mit à ronfler et à hennir.





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Dernière mise à jour : 13/05/2005