Texte grec :
[7,132] Τὸν δὲ φυσικὸν λόγον διαιροῦσιν εἴς τε τὸν περὶ σωμάτων τόπον καὶ περὶ
ἀρχῶν καὶ στοιχείων καὶ θεῶν καὶ περάτων καὶ τόπου καὶ κενοῦ. Καὶ οὕτω μὲν εἰδικῶς,
γενικῶς δ' εἰς τρεῖς τόπους, τόν τε περὶ κόσμου καὶ τὸν περὶ τῶν στοιχείων καὶ τρίτον τὸν
αἰτιολογικόν.
Τὸν δὲ περὶ τοῦ κόσμου διαιρεῖσθαί φασιν εἰς δύο μέρη. Μιᾷ γὰρ σκέψει ἐπικοινωνεῖν
αὐτοῦ καὶ τοὺς ἀπὸ τῶν μαθημάτων, καθ' ἣν ζητοῦσι περί τε τῶν ἀπλανῶν καὶ τῶν
πλανωμένων, οἷον εἰ ὁ ἥλιός ἐστι τηλικοῦτος ἡλίκος φαίνεται, καὶ ὁμοίως εἰ ἡ σελήνη, καὶ
περὶ δινήσεως καὶ τῶν ὁμοίων τούτοις ζητημάτων.
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Traduction française :
[7,132] Quant à la physique, ils en divisent le système en plusieurs parties ; c'est-à-dire
en ce qui regarde les corps, les principes, les éléments, les dieux, les prodiges, le lieu, et
le vide ; c'est là ce qu'ils appellent la division par espèces. Celle qui est par genres
renferme trois parties: l'une du monde, l'autre des éléments, la dernière des causes.
L'explication de ce qui regarde le monde se divise en deux parties. La première est
une considération du monde, où l'on fait entrer les questions des mathématiciens sur les
étoiles fixes et errantes : comme si le soleil et la lune sont des astres aussi grands qu'ils
le paraissent ; sur le mouvement circulaire et autres semblables.
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