Texte grec :
[7] Οὗτος μὲν οὖν ἐξετέλεσε τὴν καταδίκην. ἡ
Ῥέα δέ—χρὴ γὰρ ἴσως καὶ ταῦτα εἰπεῖν—πῶς
οὐκ ἀσχημονεῖ καὶ δεινὰ ποιεῖ, γραῦς μὲν ἤδη καὶ
ἔξωρος οὖσα καὶ τοσούτων μήτηρ θεῶν, παιδεραστοῦσα
δὲ ἔτι καὶ ζηλοτυποῦσα καὶ τὸν Ἄττιν ἐπὶ
τῶν λεόντων περιφέρουσα, καὶ ταῦτα μηκέτι
χρήσιμον εἶναι δυνάμενον; ὥστε πῶς ἂν ἔτι μέμφοιτό
τις ἢ τῇ Ἀφροδίτῃ ὅτι μοιχεύεται, ἢ τῇ
Σελήνῃ πρὸς τὸν Ἐνδυμίωνα κατιούσῃ πολλάκις
ἐκ μέσης τῆς ὁδοῦ;
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Traduction française :
[7] Tel est son supplice. Et Rhéa, car il faut tout
dire, jusqu'où va son impudeur ! quelle éhontée !
Vieille, hors d'âge, mère d'un si grand nombre de
dieux, elle aime encore les garçons, elle en est
jalouse ; elle promène, sur un char traîné par des
lions, son Attis, qui ne peut plus lui servir à rien.
Peut-on, après cela, reprocher à Vénus ses
adultères, à la Lune de s'arrêter souvent à moitié
route pour descendre auprès de son Endymion.
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