Texte grec :
[12,35] Ὅτι δύο Περίανδροι, ὃ μὲν σοφὸς ἦν, ὃ δὲ τύραννος.
καὶ Μιλτιάδαι τρεῖς, ὁ τὴν Χερρόννησον κτίσας
καὶ ὁ Κυψέλου καὶ ὁ Κίμωνος. Σίβυλλαι τέτταρες,
ἡ Ἐρυθραία ἡ Σαμία ἡ Αἰγυπτία ἡ Σαρδιανή. οἳ
δέ φασι καὶ ἑτέρας ἕξ, ὡς εἶναι τὰς πάσας δέκα, ὧν
εἶναι καὶ τὴν Κυμαίαν καὶ τὴν Ἰουδαίαν. Βάκιδες
τρεῖς, ὁ μὲν Ἐλεώνιος, ὁ δὲ Ἀθηναῖος, ὁ δὲ Ἀρκάς.
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Traduction française :
[12,35] Des homonymes.
IL y a eu deux Périandre, l'un philosophe, l'autre tyran; trois Miltiade,
l'un qui bâtit Chersonèse, un autre, fils de Cypsélus, et un troisième,
fils de Cimon; quatre sibylles, l'Erythréenne, la Samienne, l'Égyptienne,
la Sardienne : quelques-uns en ajoutent six, et par là en comptent dix en tout,
parmi lesquelles sont la sibylle de Cumes et celle de Judée. On connaît trois
Bécis, le Béotien, lAthénien, et l'Arcadien.
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