HODOI ELEKTRONIKAI
Du texte à l'hypertexte

Diogène Laërce, Vies, doctrines et sentences des Philosophes illustres, livre VII (Zénon)

ταύταις



Texte grec :

[7,92] Παναίτιος μὲν οὖν δύο φησὶν ἀρετάς, θεωρητικὴν καὶ πρακτικήν· ἄλλοι δὲ λογικὴν καὶ φυσικὴν καὶ ἠθικήν· τέτταρας δὲ οἱ περὶ Ποσειδώνιον καὶ πλείονας οἱ περὶ Κλεάνθην καὶ Χρύσιππον καὶ Ἀντίπατρον. Ὁ μὲν γὰρ Ἀπολλοφάνης μίαν λέγει, τὴν φρόνησιν. Τῶν δ' ἀρετῶν τὰς μὲν πρώτας, τὰς δὲ ταύταις ὑποτεταγμένας. Πρώτας μὲν τάσδε, φρόνησιν, ἀνδρείαν, δικαιοσύνην, σωφροσύνην· ἐν εἴδει δὲ τούτων μεγαλοψυχίαν, ἐγκράτειαν, καρτερίαν, ἀγχίνοιαν, εὐβουλίαν· καὶ τὴν μὲν φρόνησιν εἶναι ἐπιστήμην κακῶν καὶ ἀγαθῶν καὶ οὐδετέρων, τὴν δ' ἀνδρείαν ἐπιστήμην ὧν αἱρετέον καὶ εὐλαβητέον καὶ οὐδετέρων·

Traduction française :

[7,92] Panætius distingue deux sortes de vertus, l'une spéculative et l'autre pratique. D'autres en distinguent trois sortes, et les appellent verbe logique, physique et morale. Posidonius en compte quatre sortes, Cléanthe et Chrysippe un plus grand nombre, aussi bien qu'Antipater. Apollophane n'en compte qu'une, à laquelle il donne le nom de prudence. Il y a des vertus primitives, et d'autres qui leur sont subordonnées. Les primitives sont la prudence, la force, la justice et la tempérance, qui renferment, comme leurs espèces, la grandeur d'âme, la continence, la patience, le génie, le bon choix. La prudence a pour objet la connaissance des biens et des maux, et des choses qui sont neutres ;





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Dernière mise à jour : 17/06/2009