HODOI ELEKTRONIKAI
Du texte à l'hypertexte

Diogène Laërce, Vies, doctrines et sentences des Philosophes illustres, livre VII (Zénon)

δὲ



Texte grec :

[7,135] Σῶμα δ' ἐστίν, ὥς φησιν Ἀπολλόδωρος ἐν τῇ Φυσικῇ, τὸ τριχῆ διαστατόν, εἰς μῆκος, εἰς πλάτος, εἰς βάθος· τοῦτο δὲ καὶ στερεὸν σῶμα καλεῖται. Ἐπιφάνεια δ' ἐστὶ σώματος πέρας ἢ τὸ μῆκος καὶ πλάτος μόνον ἔχον βάθος δ' οὔ· ταύτην δὲ Ποσειδώνιος ἐν πέμπτῳ Περὶ μετεώρων καὶ κατ' ἐπίνοιαν καὶ καθ' ὑπόστασιν ἀπολείπει. Γραμμὴ δ' ἐστὶν ἐπιφανείας πέρας ἢ μῆκος ἀπλατὲς ἢ τὸ μῆκος μόνον ἔχον. Στιγμὴ δ' ἐστὶ γραμμῆς πέρας, ἥτις ἐστὶ σημεῖον ἐλάχιστον.

Traduction française :

[7,135] Le corps, dit Apollodore dans sa Physique, est ce qui a trois dimensions : la longueur, la largeur, et la profondeur; et c'est ce qu'on appelle un corps solide. La superficie est composée des extrémités du corps, et elle n'a que de la longueur et de la largeur, sans profondeur. C'est ainsi que l'explique Posidonius dans son troisième livre des Météores, considérés tant selon la manière de les entendre que selon leur subsistance. La ligne est l'extrémité de la superficie, ou une longueur sans largeur ; ou bien ce qui n'a que de la longueur. Le point est l'extrémité de la ligne, et forme la plus petite marque qu'il y ait.





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Dernière mise à jour : 17/06/2009